Céline, 45 ans

"J'ai vécu un accompagnement de qualité. Nathalie m'a offert un espace relationnel sécurisant. Son écoute bienveillante, sa juste distance et son ouverture m'ont permis d'être en confiance, de pouvoir me connecter à moi-même et de réaliser un travail puissant.

J'ai beaucoup aimé la méthode. Elle touche à l'essentiel. Dans un premier temps, la "grille de vie" m'a permis de prendre de la hauteur pour conscientiser ce qui se rejouait dans ma vie. Nathalie m'a aidé à mettre ça en lien avec mon vécu passé. J'ai pu comprendre et mettre du sens sur mes difficultés. Puis une descente dans le corps m'a permis de contacter mes ressentis en lien avec ces difficultés et de laisser émerger ce que mon corps avait besoin d'exprimer par rapport à ça. Le mouvement d'énergie dans le corps a été intense. Et si, au départ, les sensations ressenties étaient perturbantes, cela a ensuite fait place à une très belle énergie positive.

En éprouvant dans mon corps, le blocage s'est levé. Et j'ai découvert une belle énergie sur laquelle surfer pour avancer dans ma vie. Depuis, les choses changent autour de moi, des secrets se révèlent, des personnes adoptent une attitude différente, des situations nouvelles et plus agréables se présentent à moi. Et surtout, je pense et agis autrement, de manière plus juste et plus authentique.

A la suite d'une séance, j'ai ressenti ce que c'est qu'être dans mon mental, quand celui-ci prend trop de place, qu'il interfère avec mon corps ou mon cœur. Quand chacun d'eux (mental, corps et cœur) est à sa place mais qu'ils sont en lien, c'est incroyable la sensation que je ressens, je retrouve mon énergie, je suis moi-même, cela me procure une immense joie.

Une thérapeute compétente, une technique précise, un travail puissant, une connexion à soi, des changements rapides ... Merci !"

Laurent, 32 ans

"Merci pour les séances effectuées, cela m'a vraiment apporté un éclairage. C'est une méthode extraordinaire qui mériterait d'être davantage connue."

Elodie, 39 ans
"Un voyage dans le corps, pour une libération du cœur et de l'esprit ! Je remercie Nathalie pour cette aventure.
J'ai enfin réussi à me libérer de mes peurs et à changer de prisme. Après des années, où je me sentais coincée, malgré un psychothérapie où j'avançais à tout petit pas, la mémoire cellulaire m'a libéré! "

Juliette, 51 ans

"'Un divorce, des difficultés relationnelles non résolues après des années de psychothérapie. Je souffrais du sentiment de ne pas être acteur de ma vie et surtout de dépendre du regard des autres pour exister. La méthode m'a permis de contacter les liens toxiques de l'enfance qui emprisonnaient ma vraie nature et ma personnalité. Libérée de ce poids du passé après quelques séances, certaines assez éprouvantes , j'ai l'impression de vivre enfin pleinement, de me recentrer sur moi avant tout...Après ces séances, je n'ai pas changé de vie mais j'ai appris à me faire confiance à m'aimer telle que je suis à aller vers ce / ceux que j'aime et qui me font du bien, à accepter les autres tels qu'ils sont... et la vie devient plus simple quand on ne joue pas un rôle... Merci"

Cécile, 43 ans

"J’ai découvert la mémoire cellulaire, par hasard, sur les conseils d’une amie à qui je confiais ma lassitude de revoir, dans ma vie, certains schémas relationnels inconfortables voire déprimants se répéter sans que je comprenne pourquoi, malgré mes efforts pour les éviter. J’avais essayé toutes sortes de méthodes conscientes de développement personnel et suivi plusieurs psychothérapies sans connaître une évolution favorable significative.

Je suis donc allée à ma première séance de mémoire cellulaire, un peu en désespoir de cause. Et je ne fut pas déçue !!!

Au fil des séances, j’ai appris à me connaître autrement, à comprendre mon fonctionnement et l’origine de ces schémas répétitifs. Cette connaissance et cette compréhension, grâce aux messages de mon seul corps, ont surtout eu un effet déculpabilisant pour moi : j’ai compris que je n’étais pas forcément personnellement à l’origine de ce qui m’arrivait dans la vie. J’ai pris conscience de l’influence complètement inconsciente de mon histoire, de celle de mes parents, voire de mes grands-parents ou d’autres proches sur mes émotions, mes réactions et actions. Grâce à ce travail, je sais maintenant mieux repérer les phénomènes déclencheurs et c’est ainsi plus facile pour moi d’agir, de changer mon comportement et me dessiner ainsi une autre v(o)ie : la mienne.

J’ai découvert combien mon corps pouvait être resté bloqué sur des événements de mon passé que mon mental, lui-même, avait minimisé voire presque oublié (un déménagement, la séparation avec une amie de classe par exemple) et combien ces blocages m’empêchaient d’avancer.

J’ai appris grâce à la mémoire cellulaire à accepter que mon corps ait aussi des choses à dire... il n’y a pas que mon mental ! Et j’ai ainsi pu approcher des points de blocage que mon mental n’arrivait pas à atteindre. C’est vraiment l’apport principal pour moi de la mémoire cellulaire.

Quant à Nathalie, elle a le don de m’expliquer avec clarté et justesse l’origine de mon fonctionnement. Elle sait trouver les mots justes en toutes circonstances et donne des pistes pertinentes pour trouver une autre manière d’agir et de ressentir.

Selon l’objectif que l’on s’est fixé ensemble en début de la séance, Nathalie choisit d’utiliser l’une ou l’autre de ses méthodes et à chaque fois, ce fut bénéfique. A chaque séance, j’ai vécu une révélation sur moi-même et cela m’aide, sans cesse, à grandir, évoluer et me renforcer.

Le temps entre chaque séance (3 à 4 semaines) est aussi important que la séance car il faut digérer ce qui a été découvert. Ce temps permet aussi de creuser certaines pistes ou questions restées sans réponse pendant la séance. Je n’avais jamais autant posé de questions à ma famille que depuis que je travaille sur ma mémoire cellulaire!

Avec ces quelques mois de suivi, j’ai vraiment le sentiment d’avoir déjà bien avancé! Je me sens mieux avec moi même et avec les autres ! Je me regarde et je regarde le monde avec beaucoup plus de bienveillance qu’avant la mémoire cellulaire ! Merci ! "

 

Gilles, 58 ans

"J’ai rencontré la mémoire cellulaire à 57 ans, grâce à un livre de Myriam Brousse que ma sœur m’avait prêté. Elle l’avait trouvé intéressant, mais sans aller plus loin. Pour moi ce fut une révélation. Ce que j’y lisait résonnait très fort en moi. Peu de livres m’ont fait une telle sensation de justesse essentielle. Je décidai alors de chercher une thérapeute, et j’en trouvai une proche de chez moi. C’était Nathalie Duprez.

Le chemin a alors commencé pour dénouer les nœuds qui entravaient ma vie depuis plusieurs décennies. Ces nœuds étaient toujours là, malgré les efforts et les différentes voies empruntées pour apaiser mes tensions : yoga, chant, coachings professionnels, formations de développement personnel, hypnose. Toutes ces voies m’avaient aidé, avaient percé des brèches dans la muraille, mais sans jamais pouvoir toucher l’essentiel, le ou les points qui verrouillaient mon être.

Ma vie avançait au ralenti, comme une voiture qu’on chercherait à faire accélérer en ayant le frein à main serré. Sensation de disque rayé, de patiner, avec un stress omniprésent. Tout cela sans pouvoir expliquer l’origine du malaise. Pas de traumatisme apparent ni de maltraitance pendant l’enfance. Il y avait bien le souvenir de colères de mon père qui me faisaient peur, mais pas au point de tout dérégler en moi.

Cela avait commencé à l’enfance avec une étiquette de timidité qui me collait à la peau, une émotivité terrible qui ira jusqu’à la tétanisation du corps à l’adolescence, empêchant des relations harmonieuses. Puis un début dans la vie professionnelle avec une sensation terrible de déphasage, d’inadaptation, de ne pas être à ma place, une énorme difficulté à m’affirmer, à exister, la peur de prendre ma place, la peur de prendre celle de quelqu’un d’autre aussi. C’est comme si je m’excusais d’être en vie.

Cette peur de prendre la place d’un autre, cette nécessité de me gommer, avaient une origine bien réelle, ce n’étaient pas des fruits de mon imagination. Les premières séances avec Nathalie m’ont permis de prendre conscience que lors de ma gestation mon corps avait imprimé les sentiments de ma mère, qui avait perdu son 1er enfant pendant sa grossesse. Sentiments d’impuissance, d’incompréhension, de peur de perdre le 2e enfant qui était en elle, incapacité à faire des projets d’avenir, sensation de menace invisible. Quand le deuil du 1er enfant n’est pas fait, comment imaginer un avenir pour le suivant ? Quand je suis né, mes parents étaient très heureux, c’est ce que tous les membres de ma famille m’ont dit, mais ce que mon corps a saisi dans le ventre de ma mère, c’est la peur d’exister, la menace, la pesanteur, la gravité du manque de joie. Je portais à mon tour le deuil de ce frère non né dont j’étais en train de prendre la place et dont la mémoire allait parasiter ma vie pendant des dizaines d’années.

Une séance a aussi permis de ramener à la surface une autre peur, que mon père avait éprouvée pendant la guerre. Scènes violentes qui avaient déclenché une peur panique en lui, sans pouvoir réagir, ni même oser en parler. Sans les messages perçus par Nathalie, jamais je n’aurais pu imaginer qu’à travers mes propres paniques et mon émotivité, je revivais ces peurs éprouvées par mon père, dont il n’avait jamais parlé, mais qui se manifestaient chez lui par des colères soudaines, comme « enragé » par la honte de n’avoir pu maîtriser sa peur.

Ces colères de mon père, je les connaissais, même si je ne pouvais pas en deviner l’origine. L’influence d’un 1er enfant mort avant terme, je la pressentais aussi, même si je n’avais pu en percevoir la force avant les séances de mémoire cellulaire. Par contre, une influence très importante m’a été révélée par Nathalie, alors que je n’en avais aucune conscience. Elle a perçu que mon corps parlait de lien avec ma grand-mère maternelle, comme d’un secret de famille qui parlait de mort et dont l’influence marquait ma vie.

Pourtant, j’avais assez peu de souvenirs de cette grand-mère que je voyais rarement pendant mon enfance. Mais c’est en commençant à monter l’arbre généalogique que Nathalie m’avait proposé de faire que les choses se sont éclairées. Je me suis rendu compte que cette grand-mère avait été mariée une première fois, en avril 1914. Son mari fut mobilisé en août 1914, mais il mourut au front en 1915. L’union amoureuse était détruite à peine commencée. Et là, je pouvais faire le lien avec ma propre vie, où toutes mes liaisons ou tentatives de liaisons amoureuses prenaient fin à peine commencées, ou même avant d’avoir lieu. Je revivais, à la manière d’un disque rayé, l’épreuve qu’avait subie ma grand-mère sans pouvoir mettre fin à sa souffrance. Et avant moi, ma mère l’avait vécu aussi à sa manière, en ne pouvant mettre au monde son 1er enfant. La mort, réelle ou symbolique, venait mettre fin aux espoirs de ma grand-mère, puis de ma mère, et de moi-même.

Nathalie me fit aussi remarquer que des cycles de 7 ans se répétaient entre ces 3 générations. Ma grand-mère se remaria finalement 7 ans après son 1er mariage. Ma mère me mit au monde 7 ans après son mariage, et mes enfants sont eux-mêmes nés 7 ans après mon mariage. Etrange architecture du temps, mais qui est bien réelle et exprime des liens très forts d’une génération à l’autre.

Ces cycles qui se manifestent dans notre vie, Nathalie m’a aidé à en percevoir l’importance en reliant entre elles certaines périodes de la mienne. A partir de la « grille de vie » j’ai pris conscience que les 9 premiers mois de ma vie professionnelle correspondaient symboliquement, vibratoirement, aux 9 mois de ma gestation. Durant ces 9 premiers mois, je ressentais les mêmes vibrations que celles que j’avais perçues dans le ventre de ma mère : l’inquiétude de l’avenir, la sensation de ne pas pouvoir « y arriver », et aussi la sensation d’être déphasé, de ne pas avoir le droit de prendre ma place.

A chaque fois que je prenais conscience de ce que mon corps avait imprimé depuis sa gestation, une libération se produisait. C’est comme si je me rendais compte que tout ce qui m’avait entravé avait une cause, que ce n’était pas juste une faiblesse de ma part, un manque de personnalité comme on a l’habitude de l’entendre. Je pouvais enfin saisir que ce qui m’avait empêché de vivre durant tant d’années était lié à la transmission dans mon être de situations dont mes ancêtres avaient eux-mêmes souffert sans pouvoir les effacer. Cela me déculpabilisait. Tout cela n’était pas « de ma faute », ne faisait pas intrinsèquement partie de moi, ne me définissait pas. Je ressentais que je n’étais pas cet homme fragile et faible, « emprunté », « effacé», et que j’avais réellement la capacité à retourner la situation, le droit, et même la mission de devenir moi-même, et que cela commençait par la capacité à couper les fils qui me reliaient à ce qu’avaient vécu ceux qui m’avaient précédé. En le faisant je me libère et par résonance je les libère aussi.

Une des phrases qui sont ressorties des séances c’est que « tout a un début et une fin, y compris le mauvais ». Aujourd’hui la légèreté commence à se montrer, le sourire, la joie, la lumière. Ce qui était caché par des nuages sombres commence à apparaître. La confiance aussi, confiance dans ma capacité à gérer les événements, ma vie. Et puis, c’est essentiel, un sentiment de dignité très profond. Avant je me sentais souvent indigne. Je ressens aujourd’hui que je suis profondément digne de vivre, d’être heureux, et que ce qui est indigne c’est de croire que je ne suis rien, de me rabaisser.

Ce cheminement libérateur durant ces séances de mémoire cellulaire m’a aussi permis de faire un lien profond avec ma propre démarche spirituelle commencée depuis des années en la rendant plus concrète. Pour moi, la reliance avec une puissance plus grande que nous, dont m’a parlé Nathalie pendant certaines séances, est quelque chose de naturel, de même que la notion de transmission subtile de génération en génération, et aussi la capacité à agir nous-mêmes pour dissoudre les souffrances qui nous ont été transmises, en apaisant aussi les âmes de ceux qui nous ont précédé.

Durant ces séances, l’accompagnement de Nathalie, les mots employés, les explications qu’elle m’a données sur les messages qu’elle percevait ont toujours été justes, clairs, inspirants. Cela m’a amené à prendre conscience de ce que je portais en moi, mais pas juste d’une façon intellectuelle. Cela a réellement déverrouillé des blocages que mon corps gardait au fond de lui et qui avaient résisté à tout jusqu’à présent.

 

Certes, on n’efface pas en un an les blessures de plus de 50 ans d’existence, tout n’est pas radieux et aisé, mais un vrai chemin a été fait, libérateur, qui me donne aujourd’hui une force pour me redresser et avancer avec plus de confiance sans trébucher à chaque pas en m’excusant de vivre."


 "Tout ce que notre esprit s'efforce d'oublier parce que c'est insupportable, notre corps le porte en lui. "

Myriam Brousse


Contact:

Nathalie Duprez

06 44 67 99 77